Alors que vous comptiez passer une délicieuse soirée devant un film génial, vous tombez de Charyb en Scyla tandis que le monde entier semble ligué contre vous. Pas de bol : vous êtes victime d’une des nombreuses galère qui peuvent arriver dans un cinéma.
Numéro 5 : la place de merde
Elle est typiquement à moins d’un mètre de l’écran. Vous étés assurer de chopper une migraine, voir un haut le cœur si vous essayer de lire des sous titre en même temps. Vous pouvez aussi avoir la place latérale qui vous colle un torticolis d’office.
Numéro 4 : le type de devant
Il est grand avec une fantastique coupe afro, et il a décidé de ce mettre juste sur le siege devant vous. Vous percevez du coup différemment le cinéma en ne voyant que les bords du film.
Numéro 3 : le type de derrière
Comme son homologue le type de devant, le type de derrière à des grandes jambes qu’il prend plaisir a cogner contre votre siège a longueur de temps.
Numéro 2 : les bandes annonce à rallonge
Alors que vous avez payé votre ticket (le plus souvent une fortune) le cinéma trouve encore le moyen de se faire un peu de blé en vous diffusant des pubs et des bandes annonces. Certaines sont affligeante, notamment celle pour le cinéma indépendant qui traite des cowboys hippie gays.
Numéro 1 : Les lourds
Il y’a toujours quelqu’un qui va trouver le moyen de s’asseoir a coté de vous, et qui va faire profiter a toute l’assitance de ses réactions sur le film, ou bien de son opinion sur Sarkozy, ou bien de sa sonnerie de téléphone, ou bien…
7 commentaires
hahahaha! J’adore ce post!
imagine que je suis allée voir « Dancer in the Dark » dans la situation numéro 5… déjà le film donne envie de vomir parce que ça bouge sans arrêt, mais à 1m de toi… c’est même pas la peine.
(en plus c’est un peu chiant, mais c’est une autre histoire comme dirait feu Gérard Blanc)
Et sinon, ya aussi les lourds à seau de pop corn.
PS/ « le secret de broc-bac Maountain » t’a soulé ou je me trompe?????
(moi j’ai rit pendant tout le film. Heureusement que je l’ai vu chez moi, je me serais fait virer de la salle sino)
Nan en fait cette vanne est tiré de South Park, l’épisode ou un festival de film indépendant est crée à South Park et Cartman en a marre de tous ses films de cowboys gay ! (je ne pense pas que c’était en référence a Brockback mountain vu qu’il n’était pas sorti à l’époque… hasard ?)
Quant au seau de pop corn, j’ai souvenir d’un jour ou je me suis fait accidentellement douché par les pop corn du mec de devant qui avait trébuché en s’installant. Dans un sens j’étais ravi parce que j’avais plein de pop corn gratos sur les genoux. D’un autre coté, j’avais quand même l’air vachement con avec ma copine à coté de moi qui se foutais de ma gueule…
Remarque dernièrement on a été voir B13 dans une salle raz la gueule de potentiels de 1 à 5 voir plus et passé les bandes annonces bah ca a été relativement calme…
Sinon t’as aussi les types qui se téléphone dans la salle ou à leur pote dehors pour commenter le film….
Hum… Concernant le point n°1 « les lourds », je ne la ramènerais pas trop à ta place. Ne t’es-tu pas fait incendié dans une salle de cinéma devant un film d’Arts et d’Essai (manqué, l’essai…). Tu vois cve que je veux dire ?
Ne nie pas : j’étais là !
Ne veux tu pas plutôt dire que croyant que nous étions les seuls pendant la séance de « Resident Evil : trépanation » nous avons glousser comme des oies et qu’un pauvre spectateur qui était dans notre angle mort n’a pas apprécié ?
C’était pas « Resident Evil : consternation », le titre ?
Il y avait bien quelqu’un avec nous dans la salle ? Ce n’était pas une hallucination ?
et non malheureusement pour ce pauvre homme qui non seulement a dut se faire un film de merde, mais en plus à dut nous supporter. C’est moche la vie des fois…