Un site qui s’appel Top Five, qui propose des classements et qui ne ferait pas de “best of” de l’année, et bien ça serait un site indigne de son nom. Je vous rassure, vous n’êtes pas sur ce genre de site tenu par des hordes de communistes ! non non non ! ici vous êtes chez Top Five, et notre slogan c’est “La vie est un classement” !
Bien évidement, résumer une année à 5 événements, c’est très réducteur. Mais je ne sais pas si vous avez remarquer, mais tout est histoire de référence, de contexte et d’impact : qu’est ce qui marquera plus les gens dans les années à venir ? et bien juste quelques événements majeur.
A ce propos, les événements choisi de ne sont pas daté, dans la mesure ou la plupart ont des impacts à long termes.
Bref, retour sur l’année 2009…
Numéro 5 : L’épidémie de grippe
J’ai été bien embêté pour trouver le titre de cet article car si on remonte l’affaire, on a jamais bien su ce que c’était que cette grippe : grippe du cochon, grippe mexicaine, grippe H5N1, grippe H1N1, grippe R2D2…
Cette grippe a fait son apparition en Mars au Mexique et n’a cessé d’enflammer la presse… peut être même un peu trop : annoncé comme une véritable Peste biblique, la grippe n’a finalement pas fait beaucoup de dégât (la grippe en général fait des morts, mais c’est bien la première fois qu’on lui fait une telle presse.
Fait amusant : les principaux laboratoires fournisseurs de vaccin ont vu leur valeurs boursière grimper en flèche. (source : boursorama.com)
Baxter : l’action passe de 46 $ en Mai à pratiquement 60 $ au jour d’aujourd’hui.
GPK : l’action passe de 200 $ en Mai à 320 $ aujourd’hui
Novartis : l’action passe de 43 $ en Mai à 58 $ aujourd’hui
Sanofi : l’action passe de 39 $ en Mai à 56 $ aujourd’hui
En plein crise économique, ça donne le moral non ?
Numéro 4 : La crise économique
(vous avez noter la sublime transition avec le paragraphe précédent ?) La Crise ! ouhlalala la méchante Crise quoi : avec un C majuscule. Il est un peu facile de classer la crise comme un événement de 2009 puisqu’elle trouve ses sources dans les secousses préalable qui avaient déjà sérieusement ébranlé l’économie mondiale. C’est malgré tout cette année que la Crise a été la plus virulente, aux points que personne ne pouvait plus faire comme si de rien était.
Il est encore trop tôt pour faire un bilan, d’autant plus que votre serviteur est loin d’être un économiste chevronné. Si on devait faire un bilan de tout ça, la réactions des états pour sauver la situation a mis en évidence que le capitalisme sauvage ne pouvait que s’écrouler sur lui même. L’état providence serait la solution pour équilibrer le système ? pas forcément vu a quel point certain ont abusé du système.
Les ultra capitalistes ont eut très chaud, mais seront ils assez malin pour mettre un peu d’eau dans leur vin (hors de prix) ? Les gouvernements vont-ils casser le système en développant les entreprises publiques ? J’ai hâte de voir la suite !
Numéro 3 : La mort de Michael Jackson
Vous l’aimiez, vous le haïssiez, vous n’en aviez rien à faire… qu’importe, vous avez tous forcément subit le raz-de-marré médiatique qui à suivit le décès du King of the Pop. Et pour cause : le bonhomme à été un des pilier de la musique des 30 dernières années et son influence durera encore.
Si la nouvelle à été un choc par sa brusquerie, force est de reconnaitre que cette conclusion tragique à une vie mêlant tous les ingrédients d’une succès story n’a rien d’étrange. Portant l’excentricité à son paroxysme, Jackson devenait au fil des années une entité médiatique déshumanisé, divinité pour les uns, monstres freak pour les autres a tel point que son existence avait cessé de lui appartenir depuis belle lurette.
Comme Elvis ou les Beatles, Jackson est entré de son vivant dans la culture pop a tel point que la fin de son existence n’était qu’une anecdote de plus a ajouter au dossier. Arrivé à ce stade de popularité, le concept Michael Jackson n’avait plus besoin de son créateur pour continuer a fonctionner. Dans 20 ans on en parlera encore.
Numéro 2 : L’arrivé de Barack Obama au pouvoir
L’investiture de Barack Obama a très rapidement dépassé le cadre politique : la porté symbolique et l’espoir que suscitait la nomination d’un homme noir a la tête du plus puissant pays du monde (enfin ça c’est eux qui le disent…) a enflammé l’opinion populaire.
Après un an au pouvoir, l’image messianique d’Obama a prit un coup dans l’aile : pas de révolution, mais une politique “classique” de la part d’un démocrate (voir même plutôt partisane) très loin des bouleversements espérer. Ajoutez à ça une nomination ultra controversé au prix Nobel de la Paix, et vous obtenez une gueule de bois que certain ont du mal à admettre.
Que reste t’il de la Obamania ? aux états unis, la communauté afro américaine (ou black si vous n’aimez pas causer pointu) a franchi un cap symbolique : le président noir n’est plus une fiction ou une utopie, mais une réalité. A l’échelle mondiale, il y’aura aussi un avant et un après Obama.
Numéro 1 : Naissance de Top Five !
Nan mais sans déconner : vous pensiez qu’on allait se classer autrement qu’en premier ? c’est certainement le seul endroit où on le sera alors on le fait !
Petit bilan de cette première année de Blogging : et bien même si le site à une minuscule audience, c’est une expérience enrichissante que je vais continuer autant que possible : le blog est un terrain de jeu passionnant, et je compte bien l’explorer.
Merci à tous les contributeurs et à bien entendu à tous les lecteurs : rendez vous en 2010 !